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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreAprès le rachat de Credit Suisse par UBS, les Bourses européennes sont attendues en baisse. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.064,99 points (-1,26%), le CAC 40 à 6.925,40 points (-1,43%), le DAX 40 à 14.768,20 points (-1,33%), le FTSE 100 à 7.335,40 points (-1,01%), le SMI à 10.613,55 points (-0,98%), l’AEX à 722,43 points (-0,64%), le BEL 20 à 3.602,80 points (-1,36%), l’IBEX 35 à 8.719,30 points (-1,92%), le DJIA à 31.861,98 points (-1,19%), le Nasdaq à 11.630,51 points (-0,74%), le S&P 500 à 3.916,64 points (-1,10%) et le Nikkei 225 à 26.945,67 points (-1,42%).
Pour ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD à 1,0677 (+0,07%), l’EUR/JPY à 140,91 (+0,19%), et l’USD/JPY à 131,98 (+0,11.
Après l'annonce dimanche soir du rapprochement entre les établissements suisses UBS et Credit Suisse, le secteur bancaire restera scruté ce lundi. De leur côté, Bénéteau, Mersen et Voltalia rejoignent l'indice SBF120 donc McPhy sort. En France, la situation politique sera suivie. En ce qui les concerne, les députés vont se prononcer sur deux motions de censure contre le gouvernement d'Elisabeth Borne et en dépit de la contestation que la réforme des retraites suscite, elle pourrait être définitivement adoptée.
En Europe, les marchés d’actions européens se préparent à un début de séance agité lundi. Les investisseurs craignent une crise bancaire internationale après l’accord historique conclu dimanche pour sauver Credit Suisse.
Le FTSE 100 abandonnait 68 points, soit 0,9%, tandis que le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 76 points, soit 1,1% à 7h35. Selon les données du courtier IG, le DAX 40 reculait de 147 points, soit 1%.
Les marchés asiatiques perdent lundi du terrain en réaction à tous ces évènements. En fin de séance, le Hang Seng abandonnait 3,2% à Hong Kong ; le Shanghai Composite cédait pour sa part 0,5% ; puis l’indice Nikkei a clôturé en baisse de 1,4% à Tokyo.
Ce matin, les rendements des obligations du trésor américain poursuivent leur baisse face aux inquiétudes par rapport au secteur bancaire, qui l’emportent sur les anticipations de hausse des taux de la Fed. En effet, la Réserve fédérale doit "désinverser" la courbe des taux d'intérêt si elle veut remédier aux problèmes du système bancaire, selon Navellier & Associates. Selon l’intermédiaire bancaire, « une grande partie de ces difficultés est due aux mesures de la Fed. Une inversion de la courbe des taux freine le crédit et l'activité économique ». Pour eux, l’inversion de la courbe des taux « n'est pas aussi grave qu'elle l'a été par le passé, mais la Fed doit intervenir par le biais de ses opérations d’ « open market » pour faire baisser les rendements ».
Capital Economics estime que « les problèmes des banques américaines ne font peut-être que commencer, mais nous doutons qu'une crise financière mondiale 2.0 se profile à l'horizon ». A l’en croire, « il est possible que d’autres problèmes apparaissent dans d'autres banques commerciales aux Etats-Unis. Toutefois, le secteur dans son ensemble n'affiche pas un ratio inquiétant de dépôts non garantis ou des pertes non réalisées sur des titres 'détenus jusqu'à maturité' dépassant les fonds propres. Et si d'autres squelettes sortent du placard, il est plus probable qu'ils concernent des banques qui sont relativement peu réglementées parce qu'elles présentent moins de risques pour l'économie ».
L’euro recule légèrement face au dollar ce matin, tandis que les régulateurs ont accentué leurs efforts pour redonner confiance dans le système bancaire mondial en orchestrant le rachat de Crédit Suisse par UBA. Pour la banque ANZ, il est difficile d'imaginer que l'instabilité financière et les difficultés des banques disparaissent de sitôt et les investisseurs doivent donc s'attendre à une persistance de la volatilité. A en croire Capital Economics, le dollar est en perte de vitesse, malgré la détérioration de l’appétit pour le risque, puis que « les anticipations de taux, et donc les rendements obligataires, ont diminué beaucoup plus aux Etats-Unis que dans la plupart des autres économies ». L’intermédiaire financier estime que « cette évolution des différentiels de taux d'intérêt a plus que compensé l'impact (jusqu'à présent) relativement limité de l'incertitude entourant le secteur bancaire sur le sentiment pour le risque en général ».
Tandis que les inquiétudes concernant le secteur bancaire aux Etats-Unis comme en Europe ravivent la crainte d’une récession, les cours du brut reculent ce matin. Selon Commerzbank, « les cours du pétrole sont particulièrement touchés par les turbulences actuelles sur les marchés ». A en croire la banque australienne CBA, « le signal de l’éversion au risque a un impact mitigé sur les cours des matières premières minières et énergétiques ». Pour elle, la baisse des contrats pétroliers de référence constitue l’un des changements les plus marquants.
Tandis que le contrat d'avril sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex perdait 1,30 dollar, soit 2%, à 65,44 dollars le baril, le contrat de mai sur le Brent de mer du Nord reculait de 1,36 dollar, soit 1,9%, à 71,61 dollars le baril à 7h25.
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