En raison d'une hausse de la production, des prévisions de temps plus doux et d'une demande de chauffage plus faible que prévu et d'une baisse de la quantité de gaz circulant vers les usines d'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) à son plus bas niveau en un mois, les contrats à terme sur le gaz naturel américain ont chuté d'environ 3% mardi en raison d'une hausse de la production.

Les contrats à terme sur le gaz pour livraison en janvier sur le New York Mercantile Exchange ont chuté de 8,6 cents, soit 2,7 %, à 3,096 dollars par million d'unités thermiques britanniques (mmBtu) à 8h14 EST (13h14 GMT). Selon certains analystes, l'hiver et les prix élevés qu'il entraîne habituellement pourraient être terminés avant le début officiel de la saison, maintenant que le spread « faiseur de veuves » de mars-avril, très négocié, se négocie dans un contango inhabituel. Cela signifie que le prix du contrat d'avril est plus élevé que celui du contrat de mars.