Dans la plupart des pays africains, la pénétration de l'argent mobile a occupé le devant de la scène afin de faciliter les échanges et le commerce tout en créant plus de commodité. Mais elle est confrontée à des défis qui nécessitent une intervention gouvernementale.

Un pourcentage important de la population ghanéenne n'a toujours pas accès ou n'a pas la capacité de profiter de ce qui est offert, bien que le pays ait fait de grands progrès dans l'ouverture de l'accès aux services financiers grâce à son programme d'adaptation de la politique d'inclusion financière. Pour ce fait, la Conférence internationale sur le commerce et la finance du Ghana (GITFiC) a suggéré en conséquence aux gouvernements africains, aux entreprises et aux particuliers intéressés par l'adoption de systèmes de paiement mobile de trouver des moyens d'encourager les consommateurs à accepter le paiement mobile comme option de paiement.

Pour ces gouvernements, cela peut être fait en en ajustant leur mode de paiement en espèces ou par cartes au paiement via les téléphones mobiles. En réalité, ces recommandations faisaient partie d'une recherche menée par GITFiC au Ghana et au Kenya. Elles indiquaient que les consommateurs accordaient beaucoup d'importance à la sécurité en tant que facteur essentiel dans l'acceptation des nouvelles technologies par les consommateurs.