En raison de la hausse des prix des matières premières, l’absence d'opérations d'introduction en bourse dans toute l'Afrique en 2022 contraste fortement avec les niveaux d'opérations dans la région du Moyen-Orient, les nouvelles cotations ont prospéré en 2022.

L'activité de première introduction en bourse sur les bourses africaines s'est pratiquement arrêtée, dans le contexte d'une forte baisse du marché mondial des introductions en bourse (IPO) en 2022. En effet,  La baisse des transactions n'est pas seulement provoquée par les conditions du marché de 2022. En réalité, les vents contraires que le marché a ressentis en 2022 ont poussé les niveaux d'activité à leur niveau le plus bas.

Malgré les prévisions baissières pour les flotteurs dans la région en 2023, il y a des points positifs pour les accords apparaissant avec les dernières semaines de 2022, voyant un nombre croissant d'entreprises déposer des offres. Le marché africain des introductions en bourse a depuis connu une période de déclin annuel constant jusqu'à la fin de 2020, le volume des transactions et la valeur combinée des transactions chutant à un niveau d'à peine sept transactions d'une valeur combinée de 644 millions de dollars, selon les données de PwC. Ceci après avoir culminé en 2017 avec un produit de transaction totalisant 3 083 millions de dollars sur 30 flotteurs.