Stimuler le développement industriel en Afrique, est le contexte dans lequel la Banque la Banque africaine d'import-export (Afreximbank) a signé une ligne de crédit mondiale de 450 millions de dollars avec ARISE IIP.

ARISE IIP est le principal promoteur et exploitant panafricain de parcs industriels de classe mondiale. Le financement qui lui a été accordé permettra de soutenir le développement de parcs industriels et de zones économiques spéciales (ZES), tout en apportant un soutien crucial au financement du commerce extérieur des entreprises opérant au sein de l'écosystème ARISE IIP. Aux termes de l'accord de facilité, ARISE IIP déploiera 300 millions de dollars américains pour financer les besoins en fonds de roulement de ses parcs industriels en exploitation (GDIZ-Bénin, PIA-Togo, LAHAM TCHAD-Tchad, PEIA-Côte d'Ivoire et BSEZ-Rwanda) et pour les dépenses d'investissement pour le développement de nouveaux parcs industriels en RDC, au Kenya, au Tchad, au Nigéria et en Côte d'Ivoire.

De même, les 150 millions de dollars restants seront déployé pour développer un parc industriel à Lilongwe, au Malawi, et comme financement commercial pour les activités de sa société de commerce d'exportation au Malawi dans le cadre de l'initiative d' Afreximbank pour l'agriculture d'exportation pour la sécurité alimentaire. A en croire le directeur de la trésorerie d'ARISE IIP, Arvind Arora, « ce financement de 450 millions de dollars représente une avancée majeure dans le soutien aux efforts d'industrialisation de l'Afrique. Ce financement couvre les besoins critiques en fonds de roulement et en dépenses d'investissement de divers pays, répondant ainsi aux diverses exigences du développement industriel. Le déficit d'investissement dans les infrastructures de l'Afrique, qui dépasse actuellement 100 milliards de dollars par an, a un impact significatif sur les conditions de vie du continent et sa compétitivité mondiale. Chez ARISE IIP, nous nous engageons à collaborer avec des partenaires stratégiques du monde entier pour combler ce déficit et accélérer l'industrialisation du continent».