Cette fin de semaine, les contrats à terme sur le pétrole brut Brent ont progressé. Les négociations de paix prolongées entre la Russie et l'Ukraine maintenant un niveau élevé de risques géopolitiques.

Les opérateurs ont déclaré avoir été informés par le CME juste avant 03h00 GMT de l'arrêt des transactions en raison d'un problème de refroidissement dans ses centres de données CyrusOne, ce qui a affecté les échanges de tous les contrats à terme et d'options sur Globex.

Le pétrole Brent est négocié sur l'Intercontinental Exchange, ou ICE.

Le contrat à terme sur le pétrole brut Brent pour livraison en janvier, qui expire vendredi, a augmenté de 15 cents, soit 0,24 %, pour atteindre 63,58 dollars le baril à 7 h 38 GMT, après avoir clôturé en hausse de 21 cents jeudi.

Le contrat de février, plus actif, s'est échangé à 62,99 $, soit une hausse de 15 cents.

Le prix du pétrole brut américain West Texas Intermediate (WTI) s'est stabilisé à 59,08 dollars le baril, en hausse de 43 cents, soit 0,73 %. Aucune transaction n'a eu lieu jeudi en raison du jour férié de Thanksgiving aux États-Unis. Les deux contrats s'orientent vers un quatrième mois consécutif de baisse, la plus longue série de pertes depuis 2023, les anticipations d'une offre mondiale accrue pesant sur les prix.

Les prix du pétrole ont également été soutenus par la hausse des anticipations du marché selon lesquelles la Réserve fédérale américaine abaissera ses taux d'intérêt le mois prochain, ce qui pourrait stimuler la croissance économique et renforcer la demande énergétique.