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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreAprès le fort repli de Wall Street, les marchés d’actions européens sont attendus en recul. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.286,12 points (-0,05%), le CAC 40 à 7.315,88 points (-0,12%), le DAX 40 à 15.633,21 points (+0,01%), le FTSE 100 à 7.879,98 points (-0,63%), le SMI à 10.948,85 points (-0,69%), l’AEX à 753,20 points (-0,02%), le BEL 20 à 3.822,72 points (-0,69%), l’IBEX 35 à 9.423,20 points (-0,45%), le DJIA à 32.254,86 points (-1,66%), le Nasdaq à 11.338,35 points (-2,05%), le S&P 500 à 3.918,32 points (-1,85%), et le Nikkei 225 à 28.143,97 points (-1,67%).
Pour ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD est à 1,0589 (+0,04%), l’EUR/JPY à 144,75 (+0,45%), et l’USD/JPY à 136,71 (+0,41%).
L’annonce de l’opérateur boursier Euronext jeudi soir mentionne que le constructeur de bateaux Beneteau, le groupe de spécialités électriques et de matériaux avancés Mersen et le producteur d'énergies renouvelables Voltalia rejoindraient l'indice SBF 120 le 20 mars prochain. Selon lui, le spécialiste des équipements de production et distribution d'hydrogène McPhy Energy sortira de l'indice à la même date. L'opérateur boursier a fait savoir à l'occasion de sa revue trimestrielle de ses indices que la composition de l’indice CAC 40 demeure inchangée.
Dans le sillage des Bourses asiatiques, la chute du secteur financier à Wall Street cette nuit ayant plombé le moral des investisseurs, qui attendent en outre la publication du rapport sur l'emploi aux Etats-Unis, les marchés d’actions européens devraient reculer en début de séance vendredi. Ce matin, les marchés surveilleront aussi les chiffres de l’inflation en Allemagne pour février et ceux du produit intérieur brut du Royaume-Uni.
Le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 106,8 points, soit 1,5% vers 7h20 selon les données du courtier IG. Le FTSE 100 reculait de 108,3 points, soit 1,4% et le DAX 40 abandonnait 200,5 points, ou 1,3%.
Dans un contexte de prudence à la veille d'un rapport sur l'emploi qui pourrait décider de la trajectoire des taux de la Réserve fédérale (Fed), la Bourse de New York a terminé en forte baisse jeudi, affectée par le recul du secteur bancaire. Après l'annonce par la banque SVB Financial d'une perte de 1,8 milliard de dollars sur la vente d'un portefeuille de titres, qui va l'obliger à lever près de 2,3 milliards de dollars d'argent frais, les indices ont été pénalisés par la chute des actions du secteur bancaire.
Le compartiment financier du S&P 500 a lâché 4,1%, Bank of America (-6,2%), Wells Fargo (-6,2%) et JPMorgan (-5,4%), Citigroup (-4,1%) ayant vu s'évaporer près de 47 milliards de dollars de capitalisation boursière au total. Avec un quadruplement de la taxe sur les rachats d'actions et une hausse du taux d'imposition des entreprises, qui passe de 21% à 28%, le projet de loi intègre une hausse de fiscalité sur les revenus du capital.
La Banque du Japon (BOJ) a maintenu son plafond pour le rendement des obligations d'Etat japonaises à 10 ans à 0,5% et les taux d'intérêt à court terme a -0,1%. Ses responsables ont pensent que la banque avait encore besoin de temps pour examiner les effets de sa décision, prise en décembre, de relever le plafond de 0,25% à 0,5%.
Ce matin, les rendements des obligations du Trésor américain reculent. Après l'annonce selon laquelle le nombre d'actifs américains effectuant une première demande d'allocation chômage avait atteint son plus haut niveau en 10 semaines, entraînant un vaste mouvement de repli vers les valeurs refuges, le taux du titre du Trésor à 2 ans, sensible à la politique monétaire, est passé sous la barre de 4,9% jeudi. La progression des prix des obligations jeudi est intervenue alors que les investisseurs continuaient d'absorber les déclarations au ton restrictif du président de la Fed, Jerome Powell, cette semaine tout en attendant le rapport sur l'emploi de février. Cette progression s’est traduite par une baisse des rendements des titres de maturités allant de 3 mois à 30 ans.
De bons chiffres sur l’emploi non agricole en février, vendredi, et sur l’inflation, le 14 mars, encourageraient selon les analystes, la Fed à relever son taux directeur de 50 points de base lors de sa prochaine réunion, dans deux semaines. A en croire SPI Asset Management, « les risques d’une hausse plus importante et plus rapide des taux ont augmenté après que [Jerome] Powell a clairement abaissé la barre pour un relèvement de 50 points de base en mars, peut-être pour tenter de contrer les critiques selon lesquelles la Fed a de nouveau pris du retard vis-à-vis de l'inflation ». Le taux du titre du Trésor américain à2 ans fléchissait de 8 points de base également, à 4,797%, tandis que celui du titre à 10 ans perdait 8 points de base, à 3,830% vers 7h20.
Après le statu quo monétaire de la Banque du Japon, l’euro est stable ce matin face au dollar, mais la monnaie unique progresse face au yen, tout comme le billet vert. L’institution a démenti à cet effet certaines spéculations selon lesquelles elle pourrait s’écarter de sa politique de taux d’intérêt ultra-bas. Les investisseurs vont se focaliser sur les prochains indicateurs économiques, en particulier le rapport mensuel sur l'emploi et l'indice des prix à la consommation, alors que les responsables de la Fed entrent dans leur traditionnelle période de silence avant leur réunion de politique monétaire prévu pour le 21 et 22 mars. Pour la banque, le nombre d’inscriptions au chômage aux Etats-Unis s'est révélé un peu plus élevé que prévu jeudi, « une mauvaise nouvelle qui devient une bonne nouvelle ».
Ce matin, les contrats à terme sur le pétrole brut sont orientés à la baisse. Le contrat de mai sur le Brent de mer du Nord perdait 35 cents, à 81,24 dollars le baril, vers 7h15, et celui d’avril sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 51 cents, à 75,21 dollars le baril. Selon ANZ, les questions d’approvisionnement sont au centre de l’attention dans un contexte d’augmentation des stocks de pétrole aux Etats-Unis et de risques pour les exportations de pétrole russe. Pour l’intermédiaire financier, « bien que l’offre russe semble résister, nous estimons que près d'un million de barils par jour d'offre de pétrole russe est menacé ». A l’en croire, « si cette quantité était retirée du marché, il serait difficile pour les pays producteurs non membres de l'[Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep)] de la compenser ».
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