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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreAvant l'IFO et des propos de Lagarde (BCE), les marchés d'actions européens sont attendus en baisse. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.207,16 points (-0,13%), le CAC 40 à 7.184,82 points (-0,40%), le DAX 40 à 15.557,29 points (-0,09%), le FTSE 100 à 7.683,91 points (+0,07%), le SMI à 11.014,76 points (-0,63%), l’AEX à 730,09 points (-0,22%), le BEL 20 à 3.634,80 points (-0,36%), l’IBEX 35 à 9.502,00 points (-0,49%), le DJIA à 33.963,84 points (-0,31%), le Nasdaq à 13.211,81 points (-0,09%), le S&P 500 à 4.320,06 points (-0,23%), et le Nikkei 225 à 32.669,27 points (+0,82%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD à 1,0651(+0,05%), l’EUR/JPY à 157,99 (+0,06%), et l’USD/JPY à 148,34 (+0,02%).
Dimanche soir, les investisseurs réagiront lundi aux annonces effectuées par le président de la République. Grâce à la conversion des deux dernières centrales du pays, Emmanuel Macron a notamment annoncé la sortie de la France du charbon d'ici à 2027, et invité les distributeurs à vendre l'essence à prix coûtant plutôt qu'à perte. Par ailleurs, l'attention restera tournée vers Stellantis après l'annonce d'une amplification de la grève qui touche le secteur automobile aux Etats-Unis.
En Europe, les marchés d’actions européens pourraient ouvrir en baisse ce lundi. Les investisseurs réagissent à la hausse des taux sur le marché obligataire et attendant l'audition de Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), devant le Parlement européen. Les données du courtier IG mentionnent que le contrat sur FTSE 100 cédait 25 points, soit 0,3% et celui sur le DAX 40 abandonnait 25 points, soit 0,2%. Le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 23 points, soit 0,3%, à 7h25.
Les marchés suivront par ailleurs l'indice IFO du climat des affaires en Allemagne en septembre, en quête d'indications sur les perspectives de la première économie de la zone euro, dans un contexte économique morose en zone euro. Wall Street a terminé dans le rouge, vendredi, toujours plombée par les annonces de la Réserve fédérale (Fed), qui reste déterminée à maintenir des taux élevés pour éradiquer l'inflation. Le Nasdaq Composite a reculé de 0,1%, l’indice élargi S&P 500 a cédé 0,2% et l’indice Dow Jones (DJIA) a perdu 0,3%. Le DJIA a essuyé pour sa part un repli hebdomadaire de 1,9%. Les indices S&P 500 et Nasdaq ont réalisé leur plus mauvaise semaine depuis la crise bancaire de mars, abandonnant respectivement 2,9% et 3,6%.
Les principaux marchés asiatiques évoluent en ordre dispersé lundi. En fin de séance, si l’indice Nikkei de la Bourse de Tokyo gagnait 0,8%, l'indice Shanghai Composite cédait 0,4% et le Hang Seng abandonnait 1,2% à Hong Kong.
Les rendements des obligations du Trésor américain ont clôturé à en de semaine dernière près de leurs plus hauts niveaux depuis la période 2006-2011. Les opérateurs ont intégré le fait que la Réserve fédérale devrait maintenir des taux élevés pendant une période prolongée.
Ce matin, l’euro évolue peu face au dollar, qui pourrait rester soutenu par les anticipations de poursuite des hausses de taux aux Etats-Unis. Les stratégistes devises de CBA estiment que le dollar devrait s’apprécier cette semaine en raison de la surperformance de l'économie américaine, qui se traduit par une progression plus rapide des rendements des obligations du Trésor que des taux de la dette souveraine d'autres pays. Le billet vert a réalisé la semaine dernière sa première "croix d'or" depuis juillet 2021, ce qui pourrait signifier que la devise américaine poursuivra sa hausse, problématique pour les marchés d'actions.
Toujours soutenus par les tensions sur l'approvisionnement, les contrats à terme sur le pétrole progressent ce matin. Selon Edward Moya, analyste chez Oanda, l’interdiction par la Russie d’exporter du carburant constitue le dernier élément en date favorisant la hausse du pétrole. La Russie a décidé la semaine dernière d'interdire temporairement les exportations d'essence et de diesel en dehors de quelques pays alliés afin d'assurer la disponibilité des approvisionnements pour la récolte annuelle de blé notamment.
Plusieurs analystes s'attendent à ce que les cours du brut aux Etats-Unis et sur les marchés internationaux atteignent, voire dépassent, les 100 dollars le baril. Vers 7h15, le contrat de novembre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 38 cents, à 90,41 dollars le baril, tandis que celui de même échéance sur le Brent de mer du Nord gagnait 50 cents, à 93,77 dollars.
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