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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes Bourses européennes devraient ouvrir en baisse en attendant une allocution de Christine Lagarde. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.372,10 points (+0,25%), le CAC 40 à 7.292,80 points (+0,20%), le DAX 40 à 16.029,49 points (+0,22%), le FTSE 100 à 7.488,20 points (+0,06%), le SMI à 10.879,52 points (+0,26%), l’AEX à 765,66 points (+0,44%), le BEL 20 à 3.577,65 points (+0,21%), l’IBEX 35 à 9.939,00 points (+0,34%), le DJIA à 35.390,15 points (+0,33%), le Nasdaq à 14.250,85 points (-0,11%), le S&P 500 à 4.559,34 points (+0,06%), et le Nikkei 225 à 33.447,67 points (-0,53%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD est à 1,0948 (0,00%), l’EUR/JPY à 163,20 (-0,25%), et l’USD/JPY à 149,08 (-0,25%).
Une journée d’investisseurs aura lieu ce jour. Elle est organisée par Icade.
Au début d'une séance qui sera marquée par l'audition trimestrielle de la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, devant la commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen, les marchés d’actions européens devraient ouvrir en baisse ce lundi. Selon les données du courtier IG, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 19 points, soit 0,3%, vers 7h30. Le contrat sur le FTSE 100 abandonnait 27 points, soit 0,4% et celui sur le DAX 40 cédait 46 points, soit 0,3%.
Wall Street a terminé sans grande direction vendredi à l'issue d'une séance peu animée et écourtée en raison du week-end prolongé de Thanksgiving, mais a réalisé sa quatrième semaine consécutive de hausse. L'indice Dow Jones (DJIA) a clôturé en hausse de 0,3% vendredi, l'indice élargi S&P 500 a fini près de l'équilibre et le Nasdaq, riche en valeurs technologiques, a reculé de 0,1%. Le DJIA a gagné 1,3%, tandis que le S&P 500 et le Nasdaq ont pris 1%, sur l'ensemble de la semaine, amputée de la séance de jeudi.
Les autorités chinoises ont mis en place une nouvelle série de mesures visant à injecter davantage de fonds pour aider le secteur privé en difficulté.
En Asie, les marchés perdent du terrain lundi. L'indice Shanghai Composite cédait 0,5% en fin de séance et le Hang Seng de la Bourse de Hong Kong reculait de 0,4%. A Tokyo, l'indice Nikkei a abandonné 0,5%.
Ce matin, les rendements des obligations du Trésor américain augmentent. Tandis que l'économie européenne continue d'éprouver des difficultés après les hausses de taux de la Banque centrale européenne pour lutter contre l'inflation, les analystes soulignent que l’économie américaine semble tenir bon malgré le resserrement monétaire effectué par la Réserve fédérale au cours des 18 derniers mois. Les investisseurs se concentreront cette semaine sur l’indice PCE, l’indicateur d’inflation préféré de la Fed pour octobre aux Etats-Unis.
Ce matin, l’euro s’inscrit e légère hausse face au dollar. Au cours des deux prochaines années, UniCredit Research anticipe une "faiblesse modérée du dollar" à mesure que la surperformance de la croissance américaine diminuera et que les baisses des taux d'intérêt réduiront le différentiel de taux entre les Etats-Unis et les autres pays du G10, selon Elia Lattuga, directrice adjointe de l'analyse stratégique. UniCredit estime que la paire euro/dollar atteindra 1,13 d'ici à la fin de 2024, à comparer à 1,0953 lundi à 7h30. Pour UniCredit, la paire euro/dollar se rapprochera de sa juste valeur, estimée à 1,15, d'ici à la fin de 2025.
A quelques jours de la prochaine réunion de l'Opep+, un groupe réunissant l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et dix pays alliés menés par la Russie, et de l'ouverture de la COP28 à Dubaï, les contrats à terme sur le pétrole reculent ce lundi. Les stratégistes d'ING pour les matières premières ont indiqué que le marché pense que l’Arabie saoudite prolongera la réduction volontaire de sa production de pétrole de 1 million de barils par jour jusqu'en 2024. Pour ces stratégistes, il existe également une possibilité croissante que l'Opep+ réduise davantage sa production, ce qui apporterait un soutien au marché à l'approche de 2024. Le contrat de janvier sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 58 cents, à 74,96 dollars le baril, celui de même échéance sur le Brent de mer du Nord perdait 57 cents, à 80,01 dollars le baril, vers 7h20.
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