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15/02/2024
Catégories: Information générale

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Les Bourses européennes sont attendues en hausse ce jeudi 15 février 2024. Ceci, avant Lagarde et sous une avalanche de résultats d'entreprises. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.709,22 points (+0,43%), le CAC 40 à 7.677,35 points (+0,68%), le DAX 40 à 16.945,48 points (+0,38%), le FTSE 100 à 7.568,40 points (+0,75%), le SMI à 11.213,64 points (+0,64%), l’AEX à 843,67 points (+0,12%), le DJIA à 38.424,27 points (+0,40%), le Nasdaq à 15.859,15 points (+1,30%), le S&P 500 à 5.000,62 points (+0,96%) et le Nikkei 225 à 38.157,94 points (+1,21%).

Du côté des cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche à 1,0732 (+0,03%), l’EUR/JPY à 161,10 (-0,28%) et l’USD/JPY à 150,15 (-0,30%).

Les résultats d'entreprises sont encore nombreux jeudi. Parmi les principales publications attendues figurent celles de Airbus, Stellantis, Safran, Schneider Electric, Orange, Pernod Ricard, TF1, la Française des Jeux (FDJ), Euronext, Nexans, Covivio et Valneva. Mercredi soir, le constructeur automobile Renault a publié des résultats "records" au titre de 2023, confirmant le redressement de sa rentabilité, mais il s'est fixé des objectifs plutôt prudents pour l'année en cours, où le groupe poursuivra son offensive commerciale dans un contexte incertain.

Les marchés d'actions européens sont attendus en hausse à l'ouverture jeudi, avant l'audition trimestrielle de la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, devant la commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen, qui débutera à 9h00. Les investisseurs réagiront également à une avalanche de résultats d'entreprises publiés entre mercredi soir et jeudi matin, ainsi qu'à plusieurs indicateurs économiques, dont le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni au quatrième trimestre, les ventes de détail et la production industrielle aux Etats-Unis.

A 7h30, le contrat à terme sur le CAC 40 gagnait 29 points, soit 0,4%, selon les données du courtier IG. Le contrat sur le DAX 40 prenait 50 points, soit 0,3%, tandis que celui sur le FTSE 100 progressait de 27 points, soit 0,4%. Mercredi soir, Wall Street a repris sa marche en avant après avoir été déstabilisée la veille par les mauvais chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, qui sont venus doucher les espoirs d'une baisse rapide des taux d'intérêt de la Réserve fédérale (Fed). L'indice Dow Jones (DJIA) a clôturé mercredi en hausse de 0,4%, l'indice élargi S&P 500 a progressé de 1% et le Nasdaq Composite, riche en valeurs technologiques, s'est adjugé 1,3%.

Une inflation temporairement plus soutenue que prévu ne constituera pas nécessairement un obstacle à une baisse des taux dans les mois qui viennent, a estimé mercredi le président de la Fed de Chicago, Austan Goolsbee. Une inflation plus soutenue pendant quelques mois "reste compatible avec une trajectoire qui la ramènera à l'objectif", a déclaré le responsable lors d'un colloque organisé par le Council of Foreign Relations. Austan Goolsbee a également repris à son compte l'affirmation du président de la Fed, Jerome Powell, selon laquelle la baisse des taux pourra être amorcée avant que l'inflation ne retrouve effectivement un rythme annuel de 2%. Le niveau actuel des taux directeurs américains est "vraiment restrictif", a observé le banquier central. "Si nous restons aussi restrictifs trop longtemps, nous aurons à redouter" une remontée excessive du chômage, a-t-il prévenu.

De son côté, le vice-président de la Fed chargé des questions de régulation, Michael Barr, a assuré que les difficultés rencontrées récemment par New York Community Bancorp ne reflétaient pas un problème systémique dans le secteur bancaire américain.

L'action NYCB a fortement décroché en février après la publication d'une perte trimestrielle inattendue, alors que la banque rencontre justement des difficultés dans son portefeuille de crédits d'immobilier commercial. Les banques régionales se sont de nouveau trouvées sous pression cette semaine à Wall Street après l'annonce d'une hausse des prix à la consommation supérieure aux attentes en janvier outre-Atlantique. En Asie, les marchés progressent jeudi. L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a gagné 1,2%, à 38.157,94 points, son plus haut niveau depuis janvier 1990. Le Hang Seng s'adjugeait 0,2% en fin de séance à Hong Kong. Les marchés chinois sont toujours fermés pour les célébrations du Nouvel an lunaire.

 

Les rendements des obligations du Trésor américain sont orientés à la baisse jeudi matin, les opérateurs se demandant si la réaction aux chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, plus élevés que prévu en janvier, n'a pas été excessive. "L'indice des prix à la consommation publié mardi a été un choc désagréable qui a provoqué une réaction importante du marché. La question est maintenant de savoir si cette réaction a été suffisante ou si elle a été trop forte", indique Chris Low, chef économiste chez FHN Financial.

L'euro évolue peu jeudi face au dollar, alors que les cambistes attendent l'audition de Christine Lagarde devant le Parlement européen. A 7h25, la monnaie unique était quasi inchangée, à 1,0730 dollar.

 

Les contrats pétroliers reculent jeudi matin, alors que le département américain de l'Energie (EIA) a fait état d'une hausse de 12 millions de barils des réserves, à 439,5 millions de barils, au cours de la semaine achevée le 9 février. Les analystes sondés par le Wall Street Journal s'attendaient à une progression de seulement 2,8 millions de barils par rapport à la semaine précédente. Les stocks d'essence ont toutefois diminué de 3,7 millions de barils la semaine dernière, et les stocks de distillats, qui comprennent le fioul de chauffage et le diesel, ont également reculé, ce qui limite la baisse des cours du brut, indique ANZ.  A 7h20, le contrat d'avril sur le Brent de mer du Nord perdait 32 cents, à 81,28 dollars le baril, et celui de mars sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 33 cents, à 76,31 dollars le baril.


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