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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes marchés d'actions européens attendus en baisse après le repli de Wall Street. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.861,87 points (-1,12%), le CAC 40 à 7.513,73 points (-1,12%), le DAX 40 à 18.387,46 points (-0,92%), le FTSE 100 à 8.153,69 points (-0,17%), le SMI à 12.203,17 points (-0,62%), l’AEX à 903,46 points (-1,26%), le BEL 20 à 4.047,18 points (+0,22%), l’IBEX 35 à 11.210,10 points (-0,02%), le DJIA à 39.853,87 points (-1,25%), le Nasdaq à 17.342,41 points (-3,64%), le S&P 500 à 5.427,13 points (-2,31%), et le Nikkei 225 à 38.006,18 points (-2,94%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD s’ouvre à 1,0840 (-0,02%), l’EUR/JPY à 165,33 (-0,90%), et l’USD/JPY à 152,53 (-0,88%).
Les indices du climat des affaires pour le mois de juillet paraîtront à 8h45, tandis que le nombre de demandeurs d'emploi au deuxième trimestre sera annoncé à 12h.
Carrefour a publié un résultat opérationnel courant inférieur aux attentes au premier semestre, le groupe invoquant des conditions météo défavorables en Europe au deuxième trimestre et les coûts d'intégration de ses acquisitions. Parmi les publications de mercredi soir, Renault a confirmé ses objectifs financiers pour 2024, alors que le constructeur automobile a accusé une baisse de son bénéfice net au premier semestre, notamment en raison d'une moins-value sur la cession des actions Nissan réalisée en mars. Le groupe a néanmoins dégagé un taux de marge opérationnelle record.
Le fabricant de pneumatiques Michelin a publié des résultats globalement supérieurs aux attentes des analystes au premier semestre et a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année.
Les publications de résultats se poursuivent à un rythme soutenu jeudi. Accor, JCDecaux, Air France -KLM, Dassault Systèmes, Stellantis et TotalEnergies figurent parmi les entreprises présentant leurs comptes du premier semestre, ainsi que STMicroelectronics, EssilorLuxottica, Hermès, Nexity, TF1, Vivendi et Unibail-Rodamco-Westfield.
Kering a indiqué s'attendre à un repli de l'ordre de 30% de son résultat opérationnel au second semestre, alors qu'il a vu ses bénéfices chuter au premier semestre sous l'effet du ralentissement du marché mondial du luxe et des dépenses importantes consacrées à la relance de sa marque phare, Gucci.
Dans le sillage de Wall Street et des Bourses asiatiques, les marchés d'actions européens devraient ouvrir en baisse jeudi, après de premières publications de résultats décevantes dans le secteur technologique aux Etats-Unis. Vers 7h30, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 38,2 points, soit 0,5%, selon les données du courtier IG. Celui sur le DAX 40 reculait de 68,7 points, soit 0,4%, et celui sur le FTSE 100 fléchissait de 15,1 points, soit 0,2%.
Les investisseurs surveilleront jeudi la publication de l'indice IFO du climat des affaires en Allemagne pour le mois de juillet, ainsi que le produit intérieur brut du deuxième trimestre et les inscriptions au chômage aux Etats-Unis, outre les résultats d’entreprises. La Bourse de New York a trébuché mercredi sur les résultats jugés décevants de Tesla et Alphabet, qui ont conduit le S&P 500 et le Nasdaq Composite à essuyer leur plus mauvaise séance depuis 2022.
Les investisseurs sont soudainement devenus plus sceptiques quant aux retombées potentielles de l'IA, après une période de frénésie autour de l'intelligence artificielle (IA). La réaction du marché, mercredi, aux résultats d'Alphabet, la maison mère de Google, qui ont légèrement dépassé les prévisions tout en suscitant des inquiétudes quant aux investissements dans l'intelligence artificielle, a montré à quel point la barre était haute pour le groupe, alors que les investisseurs attendent les résultats de Nvidia, de Microsoft et d'autres entreprises.
Lloyd Chan, analyste devises chez MUFG Bank, a indiqué que la réticence à la prise de risque se maintient en raison des incertitudes liées à l'élection américaine, des résultats décevants des entreprises technologiques et des nouveaux signes de ralentissement de la croissance mondiale, en soulignant la forte hausse du yen et du franc suisse.
Les marchés d'actions asiatiques reculent ce matin. L'indice Nikkei 225 de la Bourse de Tokyo perdait 2,9% en fin de séance, le Hang Seng à Hong Kong cédait 1,4% et le Shanghai Composite abandonnait 0,4%.
Ce matin, les rendements des obligations du Trésor américain diminuent. Vers 7h10, le taux de l'emprunt du Trésor américain à dix ans perdait environ 3 points de base, à 4,267%. Celui du titre à deux ans reculait de 4 points de base, à 4,400%. Après la parution des indices PMI, qui ont montré que l'activité du secteur privé dans la zone euro avait calé en juillet sous l'effet d'une contraction dans la première économie de l'Union monétaire, les rendements des emprunts d’Etat allemands ont fortement reculé mercredi. Pour sa part, Citigroup indique que l’enquête sur l'activité dans l'ensemble de la zone euro a indiqué que la reprise de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre semble désormais être "une anomalie [et] non le début du redressement tant attendu". Le groupe indique que « d’autres indicateurs prospectifs pourraient faire l'objet d'une plus grande attention de la part de la [Banque centrale européenne (BCE)] avant la réunion clé de septembre. La pression pour une réduction plus rapide des taux d'intérêt pourrait à nouveau se renforcer ».
Ce matin, l’euro est quasi stable par rapport au dollar, mais s’inscrit en fort recul face au yen, à l’instar du billet vert. En raison de l'aversion pour le risque des investisseurs et de la perspective d'un relèvement de ses taux par la Banque du Japon, le yen se renforce par rapport aux autres devises asiatiques et du G10. Pour Jane Foley, stratégiste changes à Rabobank, l’euro semble devoir se déprécier après s'être montré résistant cette année en dépit des difficultés du secteur manufacturier allemand, des problèmes de déficit de la France et de la montée en puissance des partis d'extrême droite en Europe. A en croire ce dernier, l'euro pourrait tomber à 1,05 dollar dans un délai de trois mois, alors qu’une réduction de ses taux par la Réserve fédérale en septembre est maintenant intégrée par le marché.
Pénalisés par la perte de confiance sur les marchés boursiers mondiaux, les contrats à terme sur le pétrole se replient ce matin. Selon Mohammad Amer, directeur commercial régional chez Exness, le marché du pétrole brut reste sensible aux inquiétudes concernant le ralentissement de l’économie chinoise ainsi qu’aux problèmes d'ordre géopolitique et aux questions liées aux stocks de brut. Quant au ralentissement de l'économie chinoise, les inquiétudes pourraient compenser l'effet haussier des risques entourant l'offre de pétrole.
Vers 6h50, le contrat de septembre sur le Brent de mer du Nord perdait 67 cents, à 81,04 dollars le baril. Le contrat de même échéance sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 66 cents, à 76,93 dollars le baril.
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