Les marchés d'actions européens attendus en nette hausse à l'ouverture. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.750,55 points (-0,83%), le CAC 40 à 7.229,64 points (-0,67%), le DAX 40 à 19.060,31 points (-0,67%), le FTSE 100 à 8.099,02 points (-0,13%), le SMI à 11.529,85 points (-0,94%), l’AEX à 861,98 points (-0,39%), le BEL 20 à 4.116,40 points (-0,89%), l’IBEX 35 à 11.588,40 points (-0,74%), le DJIA à 43.268,94 points (-0,28%), le Nasdaq à 18.987,47 points (+1,04%), le S&P 500 à 5.916,98 points (+0,40%), et le Nikkei 225 à 38.362,50 points (-0,11%).

Pour ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD est à 1,0590 (-0,06%), l’EUR/JPY à 164,24 (+0,21%), et l’USD/JPY à 155,08 (+0,28%).

Le groupe de construction et de concessions Vinci a fait part mardi d'une légère hausse du trafic sur ses autoroutes en octobre par rapport au même mois de 2023, mais d'une progression plus importante dans ses aéroports. 

Le groupe de restauration collective et de concessions Elior a annoncé mercredi prévoir une nouvelle progression de sa marge de résultat opérationnel retraité (Ebita) ajusté pour l'exercice qui s'achèvera fin septembre 2025, alors que cette mesure de rentabilité a dépassé les attentes du groupe et des analystes pour l'exercice 2023-2024.

Entre 500 et 600 salariés de la maison de cognac Hennessy, filiale de LVMH, ont entamé une grève mardi en Charente. Les employés du groupe contestent un projet d'export en vrac de cognac vers la Chine, afin de contourner les surtaxes douanières chinoises.

Le spécialiste des tickets-restaurant et des avantages aux salariés Edenred a indiqué mardi avoir racheté 6,8 millions de titres dans le cadre de son programme de rachat d'actions, pour un montant de 261 millions d'euros.

Stellantis a dévoilé mardi soir sa troisième plateforme de production mondiale multi-énergie, baptisée "STLA Frame", qui constitue la base de sa gamme de véhicules à venir.
Crédit Agricole Assurances (CAA), le bancassureur du groupe bancaire Crédit Agricole, a annoncé mardi son intention de céder environ 4,07 millions d'actions de La Française des Jeux (FDJ) représentant près de 2,2% du capital de l'opérateur de jeux d'argent et de hasard.

STMicroelectronics a présenté ce mercredi matin son modèle financier pour 2027-2028 et sa trajectoire pour 2030. Le groupe repousse notamment son objectif de chiffre d'affaires de 20 milliards de dollars de 2027 à 2030.
Le sidérurgiste ArcelorMittal a indiqué mardi soir envisagé l'arrêt de deux sites en France, à Reims et Denain, ce qui pourrait avoir un impact sur 130 emplois.s

Par ailleurs, les débats budgétaire se poursuivent en France. Les députés ont rejeté dans la nuit en première lecture le projet de loi de fin de gestion 2024, tandis que les sénateurs ont supprimé pour 3 milliards d'euros d'allègements de cotisations patronales, dans le cadre du projet de budget de la Sécurité sociale.
  

Tandis que l'escalade des tensions en Ukraine a perturbé les marchés cette nuit, les marchés d’actions européens devraient ouvrir en hausse mercredi. A 7h45, le contrat à terme sur le CAC 40 gagnait 44,4 points, soit 0,6%, selon les données du courtier IG. Le contrat sur le DAX 40 prenait 98,4 points, soit 0,5%, et celui sur le FTSE 100 grimpait de 12,6 points, soit 0,2%.

La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé mardi. Elle est tiraillée entre les risques géopolitiques liés à la Russie et l’Ukraine et la perspective de résultats brillants pour le géant des puces Nvidia. L'indice Dow Jones (DJIA) a perdu 0,3%, à 43.268,94 points. Mais l'indice élargi S&P 500 a pris 0,4%, à 5.916,98 points, tandis que le Nasdaq Composite a avancé de 1%, à 18.987,47 points.

L'attention se portera mercredi matin sur l'indice des prix à la consommation en octobre au Royaume-Uni. Selon Alan Taylor, membre du comité de politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BOE) depuis septembre un rythme de réduction progressif des taux d'intérêt impliquerait une baisse cumulée du taux directeur de 1 point de pourcentage en 2025.
Lors de la conférence de l'institution sur la stabilité financière et la politique macro-prudentielle, les investisseurs surveilleront également le discours d'ouverture de la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde.

Les principaux indices boursiers asiatiques évoluent en ordre dispersé mercredi matin. Le Nikkei perdait 0,4% en fin de séance à Tokyo et le Hang Seng cédait 0,2% à Hong Kong, tandis que le Shanghai Composite gagnait 0,3%. La Banque populaire de Chine (PBOC) a laissé inchangés deux taux d'intérêt de référence, une décision largement attendue après la réduction de ces taux le mois dernier.
Selon un communiqué de la banque centrale chinoise, le Loan Prime Rate (LPR) à un an et le LPR à cinq ans ont tous deux été maintenus à 3,1% et 3,6% respectivement.

L'intensification du conflit russo-ukrainien incitent les investisseurs à rechercher la sécurité en se tournant vers les emprunts du Trésor américain. L'évolution de la situation a déclenché une ruée mondiale vers les actifs sûrs, et les rendements des obligations de la dette des pays développés sont stables ou en baisse.

A 07h45, le taux de l'emprunt du Trésor à dix ans prenait 1 point de base, à 4,42%. Celui du titre à deux ans était en hausse de 1 point de base, à 4,30%.

Tandis que le billet vert gagne un peu de terrain face au yen, l’euro recule légèrement ce matin face au dollar.Selon DBS, le Le "Trump trade", qui avait soutenu le billet vert, est mis à mal par les nominations controversées de Donald Trump et l'escalade des tensions entre la Russie et l'Ukraine.

Dans un contexte d'intensification des tensions géopolitiques en Europe, les contrats à terme sur le pétrole brut sont globalement stables ce matin en Asie. Selon Vivek Dhar, de CBA, l’Ukraine a mené une attaque à la frontière russe avec ses nouveaux missiles américains de longue portée. Pour l’analyste, le même jour, « la Russie a modifié sa doctrine nucléaire de façon à élargir les possibilités d’utilisation de l’arme nucléaire ».

Vers 07h45, le contrat de janvier sur le Brent de mer du Nord coté à Londres prenait 3 cents (+0,04%) à 73,33 dollars le baril, tandis que le contrat de même échéance sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex restait globalement inchangé, autour de 69,39 dollars le baril.