Les marchés d'actions européens sont attendus en recul à l'ouverture ce vendredi 11 août 2023. L’Eurostoxx 50 s’affiche à 4.384,04 points (+1,55%), le CAC 40 à 7.433,62 points (+1,52%), le DAX 40 à 15.996,52 points (+0,91%), le FTSE 100 à 7.618,60 points (+0,41%), le SMI à 11.149,79 points (+0,62%), l’AEX à 777,79 points (+0,98%), le BEL 20 à 3.718,92 points (+0,14%), l’IBEX 35 à 9.502,20 points (+1,58%), le DJIA à 35.176,15 points (+0,15%), le Nasdaq à 13.737,99 points (+0,12%), le S&P 500           4.468,83 points (+0,03%) et le Nikkei 225 à 32.473,65 points (+0,8%).

Du côté des cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD à 1,0990 (+0,06%), l’EUR/JPY à 158,98 (+0,00%) et l’USD/JPY à 144,69 (-0,05%).

L'assureur crédit Coface a publié jeudi soir des résultats en légère baisse au titre du premier semestre et a annoncé qu'il présenterait son prochain plan stratégique le 5 mars 2024. Du côté macroéconomique, les statistiques définitives sur les prix à la consommation pour juillet paraîtront à 8h45.

Les marchés d'actions européens pourraient reculer vendredi à l'ouverture, alors que les investisseurs jaugent les derniers indicateurs économiques publiés aux Etats-Unis. A 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 31,1 points, soit 0,4%, selon les données du courtier IG. Le contrat sur le DAX 40 perdait 58,3 points, soit 0,4% également, et celui sur le FTSE 100 baissait de 37,7 points, ou 0,5%.

Vendredi, les investisseurs surveilleront la publication de la première estimation du produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni au deuxième trimestre et de l'indice des prix à la production aux Etats-Unis pour juillet, ainsi que l'enquête de confiance des ménages de l'université du Michigan pour août. La Bourse de New York a clôturé en très légère hausse jeudi. Le marché a effacé l'essentiel de ses gains après avoir dans un premier temps salué les derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, qui ne laissent pas présager de nouveau tour de vis monétaire de la Réserve fédérale (Fed).

L'indice des prix à la consommation outre-Atlantique a augmenté de 3,2% sur un an en juillet, après une hausse de 3% le mois précédent, a annoncé jeudi le département américain du Travail. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal tablaient sur une accélération plus prononcée, de 3,3%.

Sur un mois, l'inflation globale et l'inflation de base se sont inscrites à 0,2%, comme en juin.

Le léger ralentissement de l'inflation hors énergie et alimentation à 4,7% sur un an pourrait inciter la Fed à maintenir ses taux inchangés en septembre, selon les analystes.

En Asie, les principaux marchés se replient vendredi. L'indice Shanghai perdait 1,2% et le Hang Seng abandonnait 0,6% à Hong Kong. La Bourse de Tokyo est fermée pour un jour férié.

Les rendements des bons du Trésor américain ont progressé jeudi, alors que les opérateurs examinaient une adjudication d'obligations à 30 ans, les derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis ainsi que les propos tenus par la présidente de la Fed de San Francisco, Mary Daly. L'adjudication jeudi de 23 milliards de dollars d'obligations à 30 ans a été assez "molle" et a entraîné un léger mouvement de vente sur les maturités les plus longues, selon BMO Capital Markets.

L'euro évolue peu face au dollar et au yen vendredi matin. Le billet vert est quasi stable par rapport à la devise japonaise. Les statistiques sur les prix à la consommation publiées jeudi aux Etats-Unis étaient globalement conformes aux attentes et confortent le scénario d'un statu quo sur les taux lors de la réunion de la Fed en septembre, selon CBA. Les opérateurs estiment à environ 90% les chances que la Fed laisse ses taux inchangés, dans une fourchette de 5,25% à 5,5%, à l'issue de sa réunion du 20 septembre, selon l'outil FedWatch de CME. Il y a un mois, cette probabilité était évaluée à 72%.

Les contrats à terme sur le pétrole brut s'inscrivent en baisse vendredi matin. Les prix sont néanmoins soutenus par plusieurs facteurs positifs, note ING. Vers 7h20, le contrat d'octobre sur le Brent de mer du Nord reculait de 16 cents, à 86,24 dollars le baril, et celui de septembre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex perdait 16 cents également, à 82,66 dollars le baril.

Les marchés d'actions européens sont attendus en recul à l'ouverture ce vendredi 11 août 2023. L’Eurostoxx 50 s’affiche à 4.384,04 points (+1,55%), le CAC 40 à 7.433,62 points (+1,52%), le DAX 40 à 15.996,52 points (+0,91%), le FTSE 100 à 7.618,60 points (+0,41%), le SMI à 11.149,79 points (+0,62%), l’AEX à 777,79 points (+0,98%), le BEL 20 à 3.718,92 points (+0,14%), l’IBEX 35 à 9.502,20 points (+1,58%), le DJIA à 35.176,15 points (+0,15%), le Nasdaq à 13.737,99 points (+0,12%), le S&P 500           4.468,83 points (+0,03%) et le Nikkei 225 à 32.473,65 points (+0,8%).

Du côté des cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD à 1,0990 (+0,06%), l’EUR/JPY à 158,98 (+0,00%) et l’USD/JPY à 144,69 (-0,05%).

L'assureur crédit Coface a publié jeudi soir des résultats en légère baisse au titre du premier semestre et a annoncé qu'il présenterait son prochain plan stratégique le 5 mars 2024. Du côté macroéconomique, les statistiques définitives sur les prix à la consommation pour juillet paraîtront à 8h45.

Les marchés d'actions européens pourraient reculer vendredi à l'ouverture, alors que les investisseurs jaugent les derniers indicateurs économiques publiés aux Etats-Unis. A 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 31,1 points, soit 0,4%, selon les données du courtier IG. Le contrat sur le DAX 40 perdait 58,3 points, soit 0,4% également, et celui sur le FTSE 100 baissait de 37,7 points, ou 0,5%.

Vendredi, les investisseurs surveilleront la publication de la première estimation du produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni au deuxième trimestre et de l'indice des prix à la production aux Etats-Unis pour juillet, ainsi que l'enquête de confiance des ménages de l'université du Michigan pour août. La Bourse de New York a clôturé en très légère hausse jeudi. Le marché a effacé l'essentiel de ses gains après avoir dans un premier temps salué les derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, qui ne laissent pas présager de nouveau tour de vis monétaire de la Réserve fédérale (Fed).

L'indice des prix à la consommation outre-Atlantique a augmenté de 3,2% sur un an en juillet, après une hausse de 3% le mois précédent, a annoncé jeudi le département américain du Travail. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal tablaient sur une accélération plus prononcée, de 3,3%.

Sur un mois, l'inflation globale et l'inflation de base se sont inscrites à 0,2%, comme en juin.

Le léger ralentissement de l'inflation hors énergie et alimentation à 4,7% sur un an pourrait inciter la Fed à maintenir ses taux inchangés en septembre, selon les analystes.

En Asie, les principaux marchés se replient vendredi. L'indice Shanghai perdait 1,2% et le Hang Seng abandonnait 0,6% à Hong Kong. La Bourse de Tokyo est fermée pour un jour férié.

Les rendements des bons du Trésor américain ont progressé jeudi, alors que les opérateurs examinaient une adjudication d'obligations à 30 ans, les derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis ainsi que les propos tenus par la présidente de la Fed de San Francisco, Mary Daly. L'adjudication jeudi de 23 milliards de dollars d'obligations à 30 ans a été assez "molle" et a entraîné un léger mouvement de vente sur les maturités les plus longues, selon BMO Capital Markets.

L'euro évolue peu face au dollar et au yen vendredi matin. Le billet vert est quasi stable par rapport à la devise japonaise. Les statistiques sur les prix à la consommation publiées jeudi aux Etats-Unis étaient globalement conformes aux attentes et confortent le scénario d'un statu quo sur les taux lors de la réunion de la Fed en septembre, selon CBA. Les opérateurs estiment à environ 90% les chances que la Fed laisse ses taux inchangés, dans une fourchette de 5,25% à 5,5%, à l'issue de sa réunion du 20 septembre, selon l'outil FedWatch de CME. Il y a un mois, cette probabilité était évaluée à 72%.

Les contrats à terme sur le pétrole brut s'inscrivent en baisse vendredi matin. Les prix sont néanmoins soutenus par plusieurs facteurs positifs, note ING. Vers 7h20, le contrat d'octobre sur le Brent de mer du Nord reculait de 16 cents, à 86,24 dollars le baril, et celui de septembre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex perdait 16 cents également, à 82,66 dollars le baril.