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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreDans leur inquiétude pour l’économie mondiale, les marchés européens sont attendus en baisse. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.269,16 points (-0,25%), le CAC 40 à 7.254,72 points (-0,34%), le DAX 40 à 15.771,71 points (-0,34%), le FTSE 100 à 7.437,93 points (-0,20%), le SMI à 10.958,90 points (-0,86%), l’AEX à 747,11 points (-0,04%), le BEL 20 à 3.652,31 points (-0,12%), et l’IBEX 35 à 9.392,00 points (-0,26%), le DJIA à 34.641,97 points (-0,56%), le Nasdaq à 14.020,95 points (-0,08%), le S&P 500 à 4.496,83 points (-0,42%), et le Nikkei 225 à 33.173,30 points (+0,41%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD à 1,0733 (+0,10%), l’EUR/JPY à 158,18 (-0,13%), et l’USD/JPY à 147,41 (-0,22%).
Pour le mois d’août, Airbus dévoile ce jour ses commandes et livraisons. Le spécialiste des paiements électroniques Worldline a indiqué hier soir avoir placé pour 600 millions d'euros d'obligations à échéance septembre 2028, assorties d'un coupon de 4,125%. Le groupe a indiqué dans un communiqué que l’émission a été largement sursouscrite par une base d'investisseurs hautement diversifiée. Son produit net sera utilisé pour les besoins de financement généraux du groupe.
A l'ouverture mercredi, les principaux marchés actions européens devraient poursuivre leur repli. Les investisseurs craignent que la prolongation jusqu'à la fin de l'année des baisses de production de l'Arabie saoudite et de la Russie, deux des plus gros exportateurs de pétrole au monde, ne pèse sur l'économie mondiale. Selon les données du courtier IG Le contrat sur le DAX 40 perdait 15 points, ou 0,1%, et celui sur le FTSE 100 baissait de 23 points, soit 0,3%. Vers 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 13 points, soit 0,2%.
Selon certains analystes, les initiatives de Riyad et de Moscou visant à soutenir les prix et par là même leurs budgets nationaux signalent que la demande chinoise est limitée et que Pékin est peu enclin à réaliser le type d'investissements en infrastructures nécessaires pour l'alimenter. Les investisseurs se demandent comment la hausse des coûts de l'énergie se répercutera sur les prix et donc sur les efforts des banques centrales pour freiner l'inflation, indique Capitol Securities Management, après l’annonce de ces nouvelles baisses de la production de pétrole. L'intermédiaire financier estime que l’inflation pourrait à nouveau accéléré, sans atteindre toutefois les sommets de l'année dernière.
Pour sa part, le gouverneur de la Réserve fédérale (Fed) Christopher Waller, fervent partisan de la remontée des taux ces derniers mois a indiqué que la banque centrale américaine pouvait désormais se montrer plus attentiste en matière de politique monétaire. Christophe Waller lors d'un entretien sur CNBC, les données économiques récemment publiées permettent à la Fed "d'agir avec prudence". Pour lui, rien ne commande d'agir de manière imminente, dans un avenir proche, et nous pouvons donc observer [et] attendre les données ». La Fed tiendra sa prochaine réunion de politique monétaire les 19 et 20 septembre.*
De son côté, la banque centrale va publier aujourd’hui son Livre Beige, un document préparatoire à cette réunion. Wall Street a terminé dans le rouge mardi au retour d'un week-end prolongé. Il est pénalisé par la hausse des cours du pétrole et de nouveaux signes de ralentissement économique en Europe et en Chine. L'indice Dow Jones (DJIA) a perdu 0,6%, l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,4% et le Nasdaq a fléchi de 0,1%.
Les principales places boursières asiatiques évoluent en ordre dispersé mercredi. L'indice Nikkei gagnait 0,5% à Tokyo. L'indice Shanghai Composite perdait 0,2% en fin de séance et l'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong abandonnait 0,6%.
Hier, les rendements obligataires du Trésor américain ont bondi. Le regain d'inquiétude qui concerne l’inflation a pris le dessus sur les préoccupations liées au ralentissement de l’économie mondiale.
L'outil FedWatch de CME a indiqué que les marchés évaluent à 93% la probabilité que la Fed laisse ses taux d'intérêt inchangés dans une fourchette de 5,25% à 5,5% le 20 septembre. A l'issue de la réunion suivante, en novembre, la probabilité d'une hausse de 25 points de base du taux des fonds fédéraux est évaluée à 39,6%.
L’euro progresse face au dollar ce matin. Il reprend quelques couleurs après avoir fortement reculé ces derniers jours. La faiblesse des indicateurs économiques publiés récemment en Chine et en zone euro ont soutenu le dollar, l'économie américaine ayant été résiliente jusqu'à présent.
L’intermédiaire financier estime que la bonne tenue de l'économie américaine "ne laisse pas penser qu'une baisse des taux est imminente, contrairement à la situation en Europe où nous avons vu une nouvelle série d'indices PMI décevants, cette fois dans le secteur des services, l'Espagne et l'Italie suivant l'Allemagne et la France où l'activité se contracte".
L'euro gagnait 0,2% à 1,0738 dollar, à 7h20.
Ce matin, les contrats à terme sur le pétrole se stabilisent soutenus par la décision de l'Arabie saoudite et de la Russie de continuer à réduire l'offre jusqu'à la fin de l'année, après avoir terminé la veille à leurs plus hauts niveaux depuis novembre 2022. Tandis que la Russie réduira ses exportations de 300.000 barils par jour jusqu'à la fin de l'année, l’Arabie saoudite a annoncé qu'elle continuerait de réduire sa production d'un million de barils par jour entre octobre et décembre. Selon The Price Futures Group, la prolongation de ces baisses de production est "très haussière [pour les cours] et signifie que l'offre de pétrole continuera de se tendre jusqu'à la fin de l'année".
Pour Aptus Capital Advisors, bien que les réductions de production entraînent une hausse immédiate des prix du pétrole et des carburants, elles pourraient en fait freiner l'inflation de base en limitant la capacité des consommateurs à acheter autre chose que du carburant et des produits de base. A l’en croire, « il est clair que l'augmentation des coûts de l'énergie renforce les tensions inflationnistes. Mais dans la mesure où l'augmentation de la facture énergétique constitue un frein à la croissance économique, elle peut exercer des pressions à la baisse sur l'indice des prix à la consommation de base ».
Vers 7h30, le contrat d'octobre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 4 cents, à 86,73 dollars le baril, tandis que celui de novembre sur le Brent de mer du Nord gagnait 5 cents, à 90,09 dollars.
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