Nous agrégeons les sources d’informations financières spécifiques Régionales et Internationales. Info Générale, Economique, Marchés Forex-Comodities- Actions-Obligataires-Taux, Vieille règlementaire etc.
Profitez d'une expérience simplifiée
Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreTandis que les investisseurs surveillent les
pourparlers destinés à mettre fin à la guerre en Ukraine, les Bourses
européennes devraient ouvrir en baisse mardi, avant la publication d'une série
d'indicateurs économiques aux Etats-Unis.
L'opérateur satellitaire Eutelsat a annoncé mardi le
lancement d'une augmentation de capital, avec maintien du droit préférentiel de
souscription (DPS), pour un montant brut avoisinant 670 millions d'euros. Cette
opération représente la deuxième levée de fonds que le groupe entendait
réaliser avant la fin de l'année. La société a indiqué avoir reçu des
engagements de souscription pour près de 475 millions d'euros de la part de ses
actionnaires de référence, dont la France, le Royaume-Uni et l'armateur CMA CGM.
L'énergéticien Engie a annoncé avoir remporté un
important projet de stockage d'électricité par batteries dans l'Etat du
Gujarat, en Inde. D'une capacité de 280 mégawatts (MW), il s'agit du deuxième
plus grand projet de ce type pour le groupe au niveau mondial.
Le laboratoire pharmaceutique Sanofi a annoncé mardi
que la Commission européenne avait approuvé son médicament Dupixent pour le
traitement de l'urticaire chronique spontanée chez les adultes et les
adolescents.
Vers 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 0,4%, selon les données du
courtier IG.
Alors que les opérateurs pourraient rester prudents
avant la parution de plusieurs indicateurs américains qui avaient été reportés
pour cause de "shutdown", les contrats à terme sur les indices
européens reculent ce matin en dépit d’une séance très positive lundi à Wall
Street.
Vers 7h40, le contrat à terme sur le DAX 40 à
Francfort cédait 0,2%, tout comme celui sur le FTSE 100 à Londres, selon les
données du courtier IG.
Dans l'actualité géopolitique, la "coalition
des volontaires", un groupement d'une trentaine de pays soutenant
l'Ukraine, doit discuter mardi en visioconférence d'un plan pour mettre fin à
la guerre déclenchée par la Russie.
La Maison-Blanche a qualifié de
"constructifs" les pourparlers qui se sont tenus dimanche à Genève
avec des représentants ukrainiens sur le plan de paix proposé la semaine
dernière par les Etats-Unis. Les deux parties ont amendé le plan américain et
ont réaffirmé qu'un futur accord devrait "pleinement respecter la
souveraineté ukrainienne et aboutir à une paix juste et durable", selon le
communiqué de la Maison-Blanche, qui ne fournit pas de précisions. L'Ukraine et
les Etats-Unis sont convenus de "continuer à travailler sur des
propositions communes" dans les jours à venir et resteront en contact
étroit avec leurs partenaires européens, ajoutait ce communiqué publié
dimanche.
Le plan initial de Washington avait été critiqué par
l'Ukraine et ses alliés européens, qui le jugeaient trop favorable à la Russie.
La Bourse de New York a terminé en nette hausse
lundi, galvanisée par des espoirs accrus de nouvelle détente monétaire aux
Etats-Unis le mois prochain et par un regain d'appétit pour l'intelligence
artificielle.
L'indice Dow Jones a gagné 0,4% à 46.448,7 points,
tandis que le S&P 500 a pris 1,6%, à 6.705,12 points. Le Nasdaq Composite
s'est adjugé 2,7%, à 22.872,01 points. L'indice phare des technologiques a
notamment été porté par Alphabet (+6,3%), qui a poursuivi son ascension grâce à
l'enthousiasme suscité par la nouvelle version de son outil d'intelligence
artificielle, Gemini 3.
L'hypothèse d'une réduction des taux par la Réserve
fédérale (Fed) en décembre s'est encore renforcée après de nouvelles prises de
parole de banquiers centraux lundi. Le gouverneur de la Fed, Christopher
Waller, et la présidente de la Fed de San Francisco, Mary Daly, ont indiqué que
la banque centrale devrait abaisser ses taux d'intérêt d'un quart de point
supplémentaire le mois prochain pour lutter contre un affaiblissement potentiel
du marché de l'emploi. Ces propos font écho à ceux du président de la Fed de
New York, John Williams, qui avait rallumé l'espoir d'un nouvel assouplissement
monétaire en indiquant vendredi qu'une baisse des taux serait justifiable
"à court terme" pour ne pas "créer de risques excessifs pour
l'objectif de plein emploi".
Selon l'outil FedWatch de CME Group, le marché
estime maintenant à plus de 80% les chances que la Fed réduise ses taux de 25
points de base (0,25 point de pourcentage) au cours de sa prochaine réunion en
décembre, contre 71% vendredi, et seulement 42% il y a une semaine.
Le président américain, Donald Trump, a par ailleurs
indiqué lundi sur son réseau Truth Social qu'il s'était entretenu par téléphone
avec son homologue chinois, XI Jinping, et qu'il y avait eu "des progrès
importants dans les deux camps pour maintenir les accords" conclus voilà
trois semaines en Corée du Sud. "Nous avons discuté de nombreux sujets,
notamment l'Ukraine/Russie, le fentanyl, le soja et d'autres produits
agricoles, etc. Nous avons conclu un accord bon et très important pour nos
grands Agriculteurs - et cela ne fera que s'améliorer", a écrit Donald
Trump.
En Asie, l'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a clôturé en hausse de 0,1%
mardi. L'indice Shanghai Composite s'adjugeait 0,9% en fin de séance, tandis
que le Hang Seng de la Bourse de Hong Kong montait de 0,3%.
Le taux du titre à deux ans montait de 0,3 point de base, à 3,51%. Vers 7h40,
le taux de l'obligation du Trésor américain à dix ans gagnait 0,1 point de
base, à 4,04%.
Le billet vert cédait 0,1% face à la devise
japonaise, à 156,70 yens. Vers 7h40, l'euro était stable, à 1,1520 dollar.
Ce matin, les cours du pétrole reculent. Les
opérateurs évaluent probablement les chances d'un accord de paix entre
l'Ukraine et la Russie, qui pourrait réduire le risque politique sur un marché
déjà bien approvisionné, indique l'équipe de recherche sur l'économie et les
marchés mondiaux d'UOB.
Selon les analystes de JPMorgan, le baril de Brent devrait s’établir en moyenne
à 57 dollars en 2027, mais pourrait reculer jusqu'à une trentaine de dollars si
des réductions de production ne sont pas mises en œuvre.
La banque américaine estime que le marché pétrolier
aura besoin d'une réduction de l'offre d'environ 2 millions de barils par jour
à partir de juin 2026 pour se stabiliser.
JPMorgan a maintenu sa prévision pour le prix du
Brent en 2026 à 58 dollars le baril en moyenne.
Vers 7h40, le contrat de janvier sur le Brent de mer du Nord coté à Londres perdait 38 cents, soit 0,6%, à 62,99 dollars le baril. Le contrat de janvier sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex reculait de 36 cents, soit 0,6%, à 58,48 dollars le baril.
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ?
Connectez-vous
Pas encore membre ?
Devenez membre gratuitement
24/11/2025 - Information générale
21/11/2025 - Information générale
20/11/2025 - Information générale
19/11/2025 - Information générale
18/11/2025 - Information générale
17/11/2025 - Information générale
14/11/2025 - Information générale
13/11/2025 - Information générale
12/11/2025 - Information générale
24/11/2025 - Information générale
21/11/2025 - Information générale
20/11/2025 - Information générale